Pauline Le Pichon s’empare du médium photographique pour multiplier les apparences et explorer les limites que cet art peut convoquer. 
Autoportrait ≠ portrait, cinéma ≠ photographie, réalité ≠ fiction, intime ≠ extime, multiplication des identités, hors-champ ≠ champ...le spectateur se retrouve en permanence dans un flou qui lui permet pourtant de s’approprier chaque image, de construire son propre récit et de s’interroger sur son rapport aux images.

Par le biais de son travail, l’artiste partage sa propre expérience tout en nous interrogeant sur nos croyances et sur les personnes que nous sommes, une fois le masque tombé.

Pauline Le Pichon s’inspire à la fois de ce qu’elle observe dans la vie quotidienne, sur les réseaux sociaux, et d’artistes tels que Cindy Sherman, Edward Hopper ou encore Gregory Crewdson.
                     
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