Ce travail a été réalisé durant une résidence d’artiste dans le cadre du festival Diep-Haven 2016. Pour répondre à la thématique du portrait, j’ai eu l’opportunité de photographier les personnes qui font l’essence même de l’opéra de Glyndebourne mais que l’on ne voit jamais sur le devant de la scène, ainsi que des participants aux activités du centre communautaire de Newhaven (Angleterre). Parallèlement à cela, la poétesse Di Sherlock a écrit des poèmes inspirés de la vie des personnes photographiées.
L’idée, de mon côté, était de mêler réalité et fiction en mettant en scène les personnes dans des situations qu’ils pouvaient rencontrer dans leurs quotidiens.
Travaillant simultanément, Di Sherlock et moi avons cependant choisi d’attendre la fin de la résidence pour découvrir ce que l’autre avait réalisé. Cette façon de faire nous a évités de nous influencer et nous a surtout permis de créer des contrastes marqués entre les représentations photographiques et écrites.
L’idée, de mon côté, était de mêler réalité et fiction en mettant en scène les personnes dans des situations qu’ils pouvaient rencontrer dans leurs quotidiens.
Travaillant simultanément, Di Sherlock et moi avons cependant choisi d’attendre la fin de la résidence pour découvrir ce que l’autre avait réalisé. Cette façon de faire nous a évités de nous influencer et nous a surtout permis de créer des contrastes marqués entre les représentations photographiques et écrites.
© Pauline Le Pichon / Adagp